En 2023, Mitsubishi a pu commercialiser deux nouveaux modèles, qui sont tous deux des Renault rebagdés. En l’occurence la Clio, devenue la Mitsubishi Colt, et le Captur, devenu l’ASX. Mais ce n’est pas terminé, puisqu’un troisième modèle sera bientôt dérivé d’une Renault. Et il s’agit de la grande nouveauté électrique Renault de 2024, le Scénic E-TECH. Ce SUV sera bien décliné chez Mitsubishi !

Quelles différences entre le Scénic E-TECH et sa déclinaison Mitsubishi ?

Pour l’heure, Mitsubishi a commencé une campagne de teasing concernant son nouveau modèle électrique, mais sans en dévoiler le nom. Si la marque continue de piocher dans les appellations connues, il pourrait s’agir de l’Outlander, un modèle qui n’est plus présent dans la gamme actuelle vendue en France.

Extérieurement, le design du SUV électrique compact siglé Mitsubishi devrait bénéficier d’une face avant distincte du modèle Renault. Les illustrations signées par Silva Kleber nous montrent une partie avant en partie remodelée, avec des blocs optiques inédits et une nouvelle calandre. En revanche, on retrouve la signature lumineuse Renault sur les flancs du bouclier. Ce qui n’est pas impossible, puisqu’elle est bien présente sur la Colt…

De profil, en dehors de badges EV chromés et des jantes alliage siglées des trois diamants, rien ne manque. Sur l’illustration ci-dessous, la partie arrière reprend intégralement le design du Scénic E-TECH. Seuls les logos changent.

En toute logique, le nouveau SUV compact électrique de Mitsubishi reprendra les motorisations et les capacités de batteries du modèle Renault. Rien d’extravagant dans l’immédiat, avec deux niveaux de puissance de 170 et 220 ch. Renault n’a pas encore annoncé de motorisation « dual motor » avec quatre roues motrices. Deux tailles de batterie seront proposées : 60 kWh, et 87 kWh. La seconde, associée à la plus puissante motorisation, permettra d’afficher une autonomie intéressante supérieure à 600 km.

Pour l’instant, Mitsubishi n’a pas encore communiqué sur la date de présentation de son nouveau modèle. Il pourrait être commercialisé quelques semaines seulement après le lancement de son cousin Renault.

Erreur d’inattention ? Malaise au volant ? Toutes les hypothèses restaient ouvertes, ce jeudi 28 décembre dans la soirée, quelques heures après un nouveau drame de la route survenu en fin de matinée, sur la départementale 996, entre Viriat et Marboz.

Il était 11 h 50 lorsque les secours ont été alertés. Une collision frontale venait de se produire au lieu-dit Les Bergeries, à moins d’un kilomètre de l’entrée du village, entre une Peugeot 206 qui circulait en direction de…

Bernie veut passer dans l’émission de Pénélope Lamborghini et devenir la star du jour. Cela tombe bien, car la présentatrice a décidé de chercher son prochain scoop dans son école. Corneil ne comprend pas pourquoi Bernie veut devenir célèbre.

Avertissement tout d’abord, le bilan carbone du Père Noël ne peut être réalisé qu’à partir de chiffres approximatifs, en raison du mystère et de l’omerta qui règnent autour de ses activités. La Société de Services en Développement Durable (SSDD) européenne, Greenflex, s’est livrée à ce délicat exercice d’évaluation.

 Bilan carbone du Père Noël

 Premier problème, le Père Noël ne publie pas ses comptes. On sait que l’augmentation de la population mondiale, et du nombre de jouets par enfant, a fait exploser les quantités de cadeaux produites et distribuées. Une situation qui, associée aux jouets de plus en plus complexes, a depuis longtemps contraint le Père Noël à délocaliser en Asie pour

soulager des lutins à bout de nerfs. Rien qu’en France, 12 millions d’enfants ont reçu en moyenne 11 cadeaux, soit 132 millions de cadeaux d’un poids moyen de 500 g, auxquels s’ajoutent 7 g de papier cadeau par cadeau.

 Et le transport ?

 Pour le transport, il faudrait ajouter l’expédition de ces millions de jouets de la Chine à la Laponie. D’après Greenflex, il faudrait également calculer l’impact écologique des rennes du Père Noël. Avec une force de traction d’environ 150 kg, le Père Noël devrait disposer d’environ 44 000 rennes pour réussir cet exploit !

Sachant qu’un renne émet environ 250 g de méthane par jour, nous arrivons à un total de 110 tonnes de méthane rejeté pour la seule nuit de Noël. Impossible, c’est pourquoi on imagine davantage le Père Noël avec un gros break capable de descendre de Laponie.

Test Auto Volkswagen ID5 GTX – Père Noël

Et si le Père Noël passait à l’électrique ?

Nous avons donc imaginé que notre cher Père Noël entamait sa transition énergétique en passant à l’électrique. Pour ce faire, nous avons dû lui trouver une voiture…rouge !

Le Volkswagen iD5 GTX offre dans son nuancier un “Rouge Roi” à la hauteur de l’enjeu. Avec sa motorisation 100% électrique et ses 299 ch, le Volkswagen iD.5 GTX permet au Père Noël de prendre la route sereinement, d’autant qu’il dispose de quatre roues motrices.

 Laponie-Paris en électrique ?

 Enfin, nous nous sommes livrés à un ultime calcul : si le Père Noël et ses lutins partaient de Rovaniemi, village de Finlande, pour rejoindre Paris, ils devraient parcourir 3 023 km.

Avec une autonomie sur autoroute dans ces conditions hivernales d’environ 380 km, ils devront s’arrêter 14 fois pour recharger. Soit 6h40 d’arrêt, à ajouter au temps de trajet.

En tout, on estime qu’il faudrait deux jours pour rejoindre la France. Le prix à payer pour économiser 240 litres de gasoil.

La nouvelle série originale de Pixar Animation Studios « Cars : Sur la route » suit Flash McQueen et son meilleur ami Martin alors qu’ils quittent Radiator Springs pour un voyage à travers le pays pour aller retrouver la sœur de Martin. En chemin, chaque arrêt est une aventure à part entière. Au programme : des attractions touristiques délirantes en bord de route et de nouveaux personnages hauts en couleur.

Avec 21 victoires en 22 Grands Prix, la Red Bull RB19 est devenue en l’espace d’une saison la Formule 1 la plus victorieuse de l’Histoire et est entrée dans la légende en servant à battre de nombreux records de domination. Tout cela en dépit d’un développement stoppé assez tôt dans l’année, ce qui n’a pas tempéré les ardeurs d’un Max Verstappen qui ne s’est pas fait prier pour conquérir sa troisième couronne mondiale dès le sprint du Qatar.

Rares ont été les courses lors desquelles la concurrence a pu observer de près et pendant longtemps la RB19 en action, mais Lewis Hamilton a eu cette opportunité lors du Grand Prix des États-Unis. Le septuple Champion du monde a retrouvé dans la monoplace autrichienne les caractéristiques lui rappelant l’une des voitures les plus performantes de sa carrière, à savoir la Mercedes W11 de 2020.

« Elle fait tout bien », a-t-il expliqué par rapport à ce qu’il avait pu observer à Austin. « Elle est très similaire à ma voiture de 2020, en termes de caractéristiques. Elle est super stable. Ils sont performants à 100%. On dirait qu’ils sont dans ce genre de fenêtre, comme nous en avions l’habitude, ce qui pour un pilote est un rêve parce qu’alors vous pouvez vraiment exploiter vos propres capacités au maximum. »

Hamilton estime que Verstappen a donc pu gérer son rythme la plupart du temps et paradoxalement profiter à plein des capacités de sa monoplace. « Nous étions les plus proches à Austin, mais je pense qu’ils avaient encore un ou deux dixièmes d’avance sur nous, au strict minimum. » Pour rappel, le Britannique avait été disqualifié après cette course pour une usure du patin trop élevée.

« Vous pouvez examiner les temps au tour et certaines données de Max, il est souvent tranquille à l’avant. Je ne pense pas qu’il ait beaucoup transpiré au cours de l’année. Même lorsque nous étions à ses trousses à Austin, je ne pense pas qu’il transpirait. Je pense qu’il a pu contrôler la situation. »

« Quand vous êtes dans cette position, quand vous avez de la performance et que vous pouvez rouler plus tranquillement, la voiture va plus loin. Les pneus durent plus longtemps et vous êtes dans une position idéale, et c’est incroyable d’être dans cette situation. En fin de compte, ils ont fait un travail extraordinaire et le méritent. Alors que nous, nous étions sans cesse à la chasse. »

Avec Jonathan Noble